SOUHAYR BELHASSEN A L’HONNEUR
Notre amie Souhayr Belhassen vient d’être honorée : c’était à l’occasion de la deuxième édition des Assises internationales du journalisme à Tunis que l’on a voulu rendre hommage à cette grande journaliste. Pour qui a suivi le parcours courageux, tenace et brillant de cette grande plume, on se dit que le Prix d’Honneur qui lui a été remis lors de la soirée «Journalisme au Maghreb, l’heure de vérité», était bien mérité.
Rappelons que Souhayr Belhassen avait, entre autres consécrations, reçu le prix Didon Elyssa.
DESSINE-MOI TON TGM
Icône de la banlieue, le petit train qui serpente de plage en plage est un concentré d’histoires et de souvenirs. Tous ceux qui l’ont emprunté pour aller à l’école, à la plage ou au travail, en ont une image à transmettre. La nouvelle galerie TGM, qui ouvrait récemment à quelques mètres de la gare, a décidé de lui payer tribut et de lancer un concours lui rendant hommage. Aux étudiants en art, ou simples amoureux des arts, elle propose d’imaginer «son» TGM. Il pourra être dessiné, peint, photographié ou même sculpté.
Trois prix seront accordés aux finalistes.
Alors «Dessine-moi ton TGM».
LE TISSAGE DE ROCHDI BELGASMI
Autour du symbole du métier à tisser, Rochdi Belgasmi a conçu et créé sa dernière chorégraphie. Savant mélange entre approches esthétiques et corps libérés, cette nouvelle chorégraphie a été présentée à l’issue d’une résidence au B7L9.
Comment un métier à tisser peut-il être convoqué par un corps dansant ? C’est la question à laquelle répond par petits points Rochdi Belgasmi.
COULEURS TUNISIENNES
A l’IMA —Institut du Monde arabe—la librairie propose, entre autres, des livres de coloriage aux enfants.
Jolie surprise pour les enfants tunisiens qui y flânent et les feuillettent : l’ouvrage intitulé «Motifs du Monde arabe à dessiner», présente en bonne place des motifs essentiellement tunisiens.
FESTIVAL DE LA SARDINE
Il fallait y penser. Le village Ken, dont on ne parlait plus depuis longtemps et qui semble revivre, l’a fait. Deux jours durant, un programme dense, varié, festif et original célébrait le plus populaire des poissons tunisiens. On y a chanté, dansé, fait de la poterie, des promenades en charrettes ou à dos d’âne, peint sur bois, fabriqué du pain, visité le musée, et, bien sûr, mangé des sardines sous toutes les interprétations possibles.
IMAGINER, CONCEVOIR ET RÊVER
C’est un challenge que proposait Dauphine Tunis à ses étudiants : imaginer et concevoir, rêver peut-être l’université de demain. Cela en peinture, sculpture, photo…
Le vernissage avait lieu la semaine dernière.
Ce challenge entrait dans le programme du Printemps Arty de l’Ecole.
Printemps qui sera clôturé par une table ronde sur le thème de :
«L’art, un activateur d’innovation», qui se tiendra le 30 mars courant.
JOURNEE DE LA TERRE
Le 30 mars sera célébrée «La Journée de la Terre».
A cette occasion, l’Association «Plateforme Tunisienne des Alternatives» organise une conférence de presse sur
«Le droit d’accès des paysannes et des paysans aux terres domaniales».
Vaste et pertinent programme qui sera clôturé par la proposition d’une charte.
WOMEN IN FINTECH
Sur les 40 startup Fintech labellisées en Tunisie, seules 5 d’entre elles sont fondées par des femmes. Quelque chose ne va pas au royaume des startup à moins que ce soit à celui des Fintech. C’est, en tout cas, ce que pensent Betacube et l’ambassade des USA qui lancent un programme de pré-incubation «Women in Fintech», ce qui est hautement justifié quand on sait que la Fintech compte parmi les 5 industries les plus en croissance en Tunisie.
Allez les femmes, allez !!!
DU CÔTE DE L’IFT
A l’Institut Français de Tunis, on nous présentait l’autre jour priorités et programmes.
Quelques chiffres : l’IFT, c’est 353 projets dont 267 hors Tunis. Ce sont 100 personnes pour l’Institut lui-même et 200 professeurs pour les centres de langue.
Ce sont encore 17 millions de dinars de budget annuel dont 52% vont à l’éducation, et 19% à la culture. Sachant que la Tunisie représente le 4e budget consenti aux Instituts Français dans le monde, mais également le premier quand on le rapporte au nombre d’habitants.